Pas de souci

Conception, jeu et écriture Solal Bouloudnine & Maxime Mikolajczak
Ecriture et mise en scène Olivier Veillon
Création lumière et son François Duguest
Production et diffusion Le BEC – Le Bureau des Ecritures Contemporaines – Romain Courault et Claire Nollez
Un projet de la cie Mam Miam
Partenaires (en cours) le NEST – CDN transfrontalier de Thionville Grand-Est, la Maison des Métallos (Paris), les Célestins (Lyon)…


Planning de création
# du 24 au 28 juin 2024 à Théâtre Ouvert (Paris) – temps de recherche et d’écriture
# du 18 au 22 novembre 2024 au 104 (Paris) – temps de recherche et d’écriture
# Entre janvier et mai 2025 : 3 semaines de résidence dont une
dédiée à un laboratoire technique
# Entre juillet et septembre 2025 : 2 semaines de résidence –
finalisation de l’écriture
# Temps de création au plateau avec technique
# 4 semaines de travail : entre septembre 2025 et janvier 2026
# Création visée pour la début d’année 2026

Pas de souci est une comédie. Une dispute entre deux amis qui ne s’étaient jamais disputés.
Une dispute pour un détail insignifiant – l’emplacement de deux chaises – qui va devenir une montagne.

Avec La fin du début, précédente création de notre trio d’auteurs, nous avons exploré un récit intime, celui de Solal, qui repose sur son angoisse de la mort. Ce spectacle est une comédie, et il a été très amusant et stimulant de faire rire avec un sujet à priori pas drôle, impossible à traiter et bien trop grand pour nous, ou pour quiconque – la mort. Nous avons eu envie de réitérer l’expérience, avec un autre sujet aux mêmes qualités : la colère et le conflit. Mais cette fois, nous avons eu envie d’explorer un autre mode théâtral. Après le solo en adresse directe au public, Pas de souci est un dialogue entre deux personnages dans une situation. Ici pas de récit direct (« il était une fois cela, il m’est arrivé ceci »), mais une situation à laquelle on assiste au présent, entre deux êtres qui interagissent sous nos yeux. En ambitionnant de mener un conflit d’une heure, sans autre artifice que l’écriture et le jeu, nous nous appuyons sur toutes les dynamiques qui forment le conflit : mauvaise foi, rancœur, coup bas, attaque personnelle, insulte, manipulation, guet-apens, violence physique, harcèlement, obsession du détail, tentatives de consensus, de diplomatie, de réconciliation …